Que reste-t-il ? La Kawasaki Vulcan S n’est certainement pas un sportif, mais elle n’est pas non plus un être lourd et immobile. Les cols alpins ne l’inquiètent pas, mais elle s’occupe du conducteur avec un confort approprié malgré son châssis plutôt simple. Le soir après le travail, monter sur elle dans le soleil couchant, c’est ringard, mais en quelque sorte beau.
Les intervalles d’entretien typiques de Kawa, à 6.000 kilomètres, sont une petite goutte d’amertume.
Mais sinon ? C’est tout ce qu’il faut faire, c’est la recommandation d’achat.
Le vélo d’essai nous a été fourni par Heller & Soltau à St. Michaelisdonn.