Que reste-t-il ? Le Moto Guzzi V85 TT se porte bien. En substance, c’est une moto très propre, individuelle, qui ne s’affaiblit pas dans la vie quotidienne. La voie médiane en termes de performance pourrait être un peu plus engagée sur le plan moteur. Mais les coureurs, peu importe le terrain, ne pourront rien faire avec les guzzis des temps modernes.
Toutes les faveurs ? Non, les clients de Moto Guzzi n’ont pas besoin de ça. Ils apprécient que les modèles les plus récents aient énormément rattrapé leur retard en termes de connectivité, de qualité et d’aptitude au quotidien, sans perdre leur individualité. Quelle que soit la couleur et le pneu.
Le vélo d’essai nous a été fourni par ZTS à Hambourg.
Que reste-t-il ? Eh bien, le Ténéré est une moto qui peut aussi convaincre en cas d’utilisation difficile. Tout ce qui pourrait se casser est réduit au strict nécessaire. Pour ce faire, la Yamaha Ténéré est conçue de manière conviviale, au cas où dans la Sibérie arrière, il faut quand même prendre le moteur: alors il suffit de dévisser les sous-trains-cadres et de les réparer. Ce sont de prétendues petites choses qui prouvent l’expérience des ingénieurs de Yamaha. Ici, on a délibérément omis sans renoncer aux choses vraiment importantes.
Mais il y a deux gouttes d’amertume : celui qui s’éloigne vraiment ne pourra pas s’empêcher d’acheter un plus grand réservoir. Pour cela, il y a trop de zones dans le monde qui sont tout simplement trop isolées pour la portée du Ténéré de 350 kilomètres plus la réserve. Enfin, la protection contre le vent est suffisante, mais elle n’est pas bonne.
Sinon, l’attente en valait la peine, compliment !
Le vélo d’essai nous a été fourni par La Moto Ruser.