Que reste-t-il ? Eh bien, le Ténéré est une moto qui peut aussi convaincre en cas d’utilisation difficile. Tout ce qui pourrait se casser est réduit au strict nécessaire. Pour ce faire, la Yamaha Ténéré est conçue de manière conviviale, au cas où dans la Sibérie arrière, il faut quand même prendre le moteur: alors il suffit de dévisser les sous-trains-cadres et de les réparer. Ce sont de prétendues petites choses qui prouvent l’expérience des ingénieurs de Yamaha. Ici, on a délibérément omis sans renoncer aux choses vraiment importantes.
Mais il y a deux gouttes d’amertume : celui qui s’éloigne vraiment ne pourra pas s’empêcher d’acheter un plus grand réservoir. Pour cela, il y a trop de zones dans le monde qui sont tout simplement trop isolées pour la portée du Ténéré de 350 kilomètres plus la réserve. Enfin, la protection contre le vent est suffisante, mais elle n’est pas bonne.
Sinon, l’attente en valait la peine, compliment !
Le vélo d’essai nous a été fourni par La Moto Ruser.
Et maintenant, la BMW est-elle une recommandation d’achat ? Oui, elle l’est. Elle convient aux débutants, aux plus petites personnes et aux pilotes expérimentés ne s’ennuient pas. Son confort de longue distance (avec un panneau de vent plus grand) est excellent, suffisamment pétillant.
La différence de prix de 2.500 euros par rapport à la BMW F 850 GS devrait en fait renforcer chaque recommandation d’achat. Mais là, elles suffisent à ne pas condamner totalement la politique des prix. Si vous pouvez et voulez vous le permettre, vous obtenez un vélo presque universel avec une très bonne finition.
Le vélo d’essai nous a été fourni par Bergmann & Söhne à Pinneberg.