Que reste-t-il à la fin ? Ceux qui achètent et conduisent cette moto, en dépit d’un réseau de manutention amélioré, possédera un vrai exotique. Voir un autre Turismo SCS lors d’une réunion de moto ? Plutôt pas.
Le bon goût rend solitaire, pourrait-on dire, mais c’est encore mieux : il n’y a pas besoin de souffrir pour ce choix, il n’y a pas de réduction dans la vie quotidienne, la qualité de traitement malgré la petite série non plus. Et le SCS ? Eh bien, on peut renoncer à cela (et à la lourdeur des frais supplémentaires). Le magnifique échappement est conservé. :)
Le vélo d’essai nous a été fourni par Bergmann et Söhne à Hambourg.